un monde perdu, un monde a moi.
donc une blaguounette avant /o/
*humour de merde pour aller avec mon poeme de merde*
C’est deux hommes, assis au bar, au sommet de l’Empire State Building. L’un, légèrement éméché, se tourne vers l’autre et lui dit :
Vous savez, j’ai découvert, la semaine dernière, que lorsqu’on saute du sommet de ce building, arrivé au niveau du dixième étage, le vent est si fort qu’il vous fait faire le tour de l’immeuble et vous fait entrer en douceur par une fenêtre.
Le barman , entendant la conversation, hoche la tête en faisant la moue.
Le second consommateur dit :
c’est impossible !
Le premier client lui dit qu’il va prouver ce qu’il dit. Il ouvre la fenêtre, saute et au niveau du dixième étage, emporté par le vent, il fait le tour de l’immeuble, ralentit, entre par une fenêtre ouverte et remonte au bar. Son voisin de bar n’en croit pas ses yeux , mais lui dit que ca doit être un hasard si ca a marché. L’autre rouvre la fenêtre et recommence. La même chose se reproduit.
Alors le deuxième consommateur décide d’essayer, convaincu . Il passe le dixième étage , neuvième, huitième ...... et s’écrase sur le trottoir ....
Alors, le barman se tourne vers le premier consommateur et lui dit :
Tu es un vrai connard lorsque tu es bourré , Superman !
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Un coup de peine mais tout le monde s'en fou
Ou serais-je juste devenu fou ?
Peut etre que je ne le montre pas assez
Quand le moral vient a baisser...
Mais après tout pourquoi les ennuyer
J'ai qu'a laisser couler !
Un jours ça va passer
Un jour je vais oublier...
Ce sera tellement devenu banal
Que ce ne sera plus un mal...
J'aimerais bien pleurer
mais mon esprit me l'a refuser...
Pas de faiblesse accorder
Quand aucune épaules ne peut vous supporter...
Alors je continue de marcher,
Et mon dos d'etre écrasé
Par cette masse de pensées
Que je ne peux évacuer...
Quoi que... Quand mes doigts
Glissent sur mon clavier
Ai-je le droit ?
De considérer...
Cela comme une évacuation
Des ombres de mon esprit
Des mauvaise choses dans ma vie
Qui me font retourner en détention
Dans ce noir si profond
Que même l'infini ne sait pas
Jusqu'où il va...
Dois-je continuer mon chemin
Sans croire a "demain"
Sans personne a mes coter
Pour me dire "tu vas y arriver"...
Non c'est impossible
Dans ce monde la
Pour les gens je suis invisible
Je suis un paria...
Alors je continu de me cacher
Dans cette bulle sans vérités...
Une bulle qui n'est qu'a moi ou je me réfugie
D'où je ne connais pas d'entrée... Ni de sortie.